Thriller Thriller Thriller L'affaire du cuisinier chinois Le chant des galahs Les onze orphelins de Mme Li
L'affaire du cuisinier chinois TOP
District de Liaocheng, Chine, mai 2005.
L’archéologue Li Zhenduo fait une découverte de première importance.
Trente-deux rouleaux de bambou vieux de plus de deux mille ans.
Mais bientôt les précieux rouleaux disparaissent.
Que contiennent-ils donc de si important ?
Et qui est ce génial cuisinier dont ils parlent, ce Zhang Chenfu qui aurait révolutionné la gastronomie royale ?
Surtout, comment expliquer qu’à plus de deux mille ans de distance, le cuisinier et l’archéologue soient victimes d’un étrange complot qui les dépossède de leur travail et de leur réputation avant de mettre leur vie en péril ?
Archie Anderson vient d’être promu dans les services de la Criminelle à Perth, Australie-Occidentale.
Élève réservé mais brillant, il est affecté au Bureau des personnes disparues.
Sitôt arrivé, sitôt parti.
Il est immédiatement expédié dans la région sauvage de Goldfields-Esperance pour enquêter sur la disparition d'une Aborigène très active au sein de l'Aboriginal Rights Watch.
Bientôt, ce sont trois nouveaux Aborigènes qui sont portés disparus.
L'enquête se corse davantage lorsque Archie se retrouve face à de curieux mercenaires supposés protéger une équipe de scientifiques dont l'objet étude est le dingo.
Mais dont l'attitude est peu protocolaire.
Rien n'est simplifié par sa rencontre avec la séduisante Barbara dont les intentions ne sont toujours limpides.
Qui cache quoi ?
Les onze orphelins de Mme Li TOP
Tandis qu’une nouvelle drogue aux effets dévastateurs se répand sur le marché chinois, des cadavres d’enfants transforment peu à peu Pékin en un véritable cimetière.
Wen, un ancien de la brigade criminelle, se retrouve malgré lui associé à Mme Li, une singulière directrice d’orphelinats, pour tenter de mettre fin à l’hécatombe.
Au fil d’une enquête palpitante, Les Onze orphelins de Mme Li dévoile les terrifiantes zones d’ombre d’une nation qui, pour retrouver sa puissance passée, s’est vue contrainte « d’ouvrir ses fenêtres, au risque de laisser aussi entrer les mouches »