Patrick PESNOT

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La face cachée des États-Unis Le génie du faux - La passion Vermeer Le grand livre des espions Les espions russes Les grands espions du XXè siècle Les grands mensonges de l'histoire Les maîtres de la terreur  

 

La face cachée des États-Unis           TOP

Scandales politiques, syndicalisme gangrené par la mafia ou instrumentalisé par les services secrets, affaires d'espionnage, manipulations de la CIA, tels sont quelques-uns des thèmes développés dans ce nouvel opus des dossiers de Monsieur X. 

On y rencontre un directeur du FBI indéboulonnable, J Edgar Hoover, un syndicaliste corrompu, Jimmy Hoffa, sans doute tué par les siens.

Et l'on y croise un étrange personnage, Irving Brown, acharné à combattre clandestinement le communisme, tout en étant à l'origine de la création en France de la CGT-Force ouvrière.

L'auteur revient sur les assassinats aussi mystérieux que retentissants de Bob Kennedy ou de Martin Luther King.

Avant de s'intéresser aux autorités américaines qui, sous prétexte de lutter contre le narco-trafic, se sont immiscées dans les affaires politiques des pays d'Amérique du Sud. 

Enfin, un chapitre est consacré au développement de plus en plus inquiétant des armées privées, mercenaires à la solde des États-Unis. 

Les grandes affaires du siècle pour découvrir la face cachée de la première puissance mondiale.

 

Le génie du faux - La passion Vermeer           TOP

Peintre de génie ou faussaire " habité " par son maître, l'énigme van Meegeren ?

Han Van Meegeren est sans doute le plus grand faussaire de tous les temps. 

Un peintre hollandais du XXe siècle qui a " inventé " des Vermeer si parfaits que si un accident historique ne l'avait contraint à se dénoncer lui-même, certaines de ses oeuvres seraient toujours accrochées aux cimaises des plus prestigieux musées du monde. 

Et d'ailleurs est-on certain que tous les Vermeer authentifiés sont réellement des Vermeer ? 

Et ne peut-on imaginer, comme d'aucuns le pensent toujours, que quelques-uns des faux peints par Van Meegeren sont en fait de vrais tableaux du maître de Delft ?

Si une telle ambiguïté demeure possible, c'est qu'il a existé entre les deux peintres, au-delà des siècles, une véritable connivence artistique, une étrange alchimie qui a conduit le faussaire à entrer dans le personnage de Vermeer et peut-être même à devenir Vermeer lui-même, le temps de l'élaboration de l'un de ses faux.

L'une de ses toiles, Le Christ et la femme adultère, fut achetée très cher par le maréchal Goering, impénitent collectionneur et pilleur d'oeuvres d'art. 

Après la Libération, lorsque ce tableau fut retrouvé parmi le trésor caché du Feldmarshall, la police hollandaise vint demander des comptes à Van Meegeren, convaincu d'avoir été le vendeur de la toile.

Le peintre, soupçonné d'avoir dépossédé son pays d'un tableau inestimable au profit de l'ennemi, risquait alors une lourde condamnation pénale. 

Pour se disculper, Van Meegeren révéla alors que l'oeuvre était en réalité un faux. 

Mais emporté par son désir fou de reconnaissance, il s'accusa aussi d'avoir peint tous les Vermeer qui avaient mystérieusement surgi au cours des dernières années. 

Oui, il avait trompé les meilleurs experts et prouvé par l'absurde combien ils étaient faillibles !

Le paradoxe fut qu'il ne fut pas immédiatement cru et qu'il dut exécuter un faux Vermeer sous l'oeil de la police pour convaincre les enquêteurs de sa bonne foi.

En un tournemain, Van Meegeren passa donc du statut de traître à son pays à celui de patriote puisqu'il avait berné Goering lui-même et obtenu pour paiement de son faux 200 tableaux de maîtres de la peinture hollandaise.

 

Le grand livre des espions           TOP

Tous ont trahi. 

Rarement par cupidité, parfois par faiblesse, le plus souvent par idéalisme et même par patriotisme. 

Pour une cause ou par amour, ces hommes et ces femmes sont devenus des espions.

Ils ont dû assumer d’être des « épieurs », des voleurs de mots, d’images, de confidences ou de secrets.

Quitte à risquer leur liberté et quelquefois leur vie.

Tous ont finalement accepté de mener une existence périlleuse et toujours angoissante. 

De Hans Voelkner, le franco-allemand qui reste toujours fidèle aux idéaux communistes de ses parents, héros du combat anti-nazi, à l’Israëlien Elie Cohen, qui continue à renseigner sa patrie malgré la potence qui l’attend au terme de sa mission, en passant par la Portoricaine Ana Montès, qui met toute sa révolte au service de Fidel Castro. 

Victimes d’eux-mêmes ou de la froide mécanique des services de renseignement, ils sont allés courageusement au bout de leur aventure. 

À travers une quinzaine de récits enlevés et passionnants, l'auteur restitue la vie intime de ceux qui ont choisi de passer de l’autre côté du miroir. 

Autant de parcours subjectifs de personnages du XXe siècle, qui auraient pu demeurer ordinaires mais qui, tous, ont connu des destins hors du commun. 

 

Les espions russes           TOP

Qui fut le véritable assassin de Trotski ? 

Comment le rapport secret sur les crimes de Staline a-t-il été divulgué ? 

Quel a été le rôle des services secrets dans l'écrasement par l'Armée rouge des mouvements de libération hongrois et tchécoslovaque ? 

Comment Eltsine a-t-il fait chuter Gorbatchev ? 

Comment Poutine, obscur colonel du KGB, s'est-il servi de la guerre en Tchétchénie pour accéder au pouvoir ? 

Autant de questions auxquelles l'auteur tente de répondre, entraînant le lecteur dans un écheveau de machinations plus cyniques les unes que les autres. 

Des purges de Staline aux faux attentats orchestrés par Poutine, ils nous montrent qu'en dépit de l'effondrement du système soviétique, le gouvernement russe pratique la corruption, la coercition et la violence.

N'hésitant pas à faire taire les opposants et à sacrifier leurs citoyens au profit de la raison d'État.

 

Les grands espions du XXè siècle           TOP

Près d'un demi-siècle a passé depuis l'assassinat de John F. Kennedy, le 22 novembre 1963. 

Pourtant, tout n'a pas été dit sur le meurtre du 35e président des États-Unis. 

Il y a toujours des informations complémentaires, de vraies et de fausses révélations, des déclarations d'officiels américains, des aveux de témoins ou d'acteurs du drame qui deviennent bavards au soir de leur vie.

Des organes officiels et des officines obscures, parfois aidés par la presse, ont longtemps soutenu une version très contestable des faits.

Refusant que les enquêtes soient rouvertes.

Persécutant ceux qui n'étaient pas de leur avis.

Et traitant avec mépris le travail du House Select Committee on Assassinations (HSCA), qui a conclu en 1979 que le président avait été victime d'une conspiration.

Le film d'Oliver Stone a relancé le débat et attisé la curiosité du public. 

Beaucoup se demandent si les faits relatés dans cette production hollywoodienne sont authentiques. 

Ce livre a donc pour objectif de répondre à de nombreuses questions : 

combien y a-t-il eu de balles tirées pour combien de tueurs ? 

Oswald était-il un bouc émissaire et pourquoi l'a-t-on fait taire ? 

Qui avait un intérêt à voir mourir Kennedy ? 

Faut-il y voir l'action de la mafia ou des services secrets ? 

Sa mort a-t-elle eu un impact sur la politique américaine ?

 

Les grands mensonges de l'histoire           TOP

" L'Histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d'accord " affirmait Napoléon 1er.

Mais derrière cette formule se cachent les plus souvent des drames humains comme l'ont démontré récemment le mensonges des armes de destruction massive de l'Iran, ou des changements du cours de l'histoire comme la bataille de Valmy ou l'attaque de Pearl Harbor.

Ce sont tous ces mensonges que décryptent pour nous l'auteur et qui nous éclairent sur la réalité des faits.

Le baptême de Clovis

La grande peur de l'an Mil

La papesse Jeanne,

Ravaillac : le seul coupable

Le mariage secret entre Anne d'Autriche et Mazarin

Fouquet, le procès truqué

Les mensonges du Pont d'Arcole

Un meurtre d'État : le duc d'Enghien

L'explosion de l'USS Maine devant Cuba : une provocation

Le Protocole des Sages de Sion

L'affaire Caillaux

Toukhatchevski : les mensonges du NKVD

Pearl Harbour, une manipulation pour précipiter les États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale

Ciceron : la fabrication d'un vrai-faux espion

Fortitude : les dommages collatéraux comme la perte du réseau Prosper

Mincemeat, le faux mort de Churchill qui a intoxiqué les nazis

Katyn, Borman, toujours vivant

Les procès staliniens en Europe de l'Est

Le complot des Blouses blanches

Les vrais-faux nazis de l'après-guerre

Les mensonges de Budapest

Melusa : un crime du FLN attribué à la France

La fausse agression de bâtiments US : prétexte pour bombarder le Nord-Viêt-Nam

Le faux journal d'Hitler

La guerre des étoiles de Reagan

Timisoara et le complot anti-Ceaucescu

Les avions renifleurs

Bokassa le faux cannibale

Les prétendues horreurs irakiennes au Koweït (les couveuses)

Les fausses ADM irakiennes.

 

Les maîtres de la terreur           TOP

Les portraits sans concession de vingt-quatre personnages célèbres qui ont fait du meurtre de masse un instrument de pouvoir.

L'empereur chinois Qin Shi Huang fit exécuter en une fois 460 intellectuels et brûler tous les livres de son empire. 

Simon de Montfort ordonna qu'on crève les yeux de tous les défenseurs d'une ville dont il venait de faire le siège. 

Le sultan Abdülhamid II organisa le massacre de plus de 200 000 Arméniens et l'enlèvement de 100 000 femmes pour ses harems. 

Kadhafi faisait retransmettre à la télévision les exécutions publiques de ses opposants. 

Des 20 000 personnes que Pol Pot a internées dans la prison S-21, sept seulement ont survécu.

Ce ne sont là que quelques détails des crimes commis par les hommes hors norme réunis dans ce livre.

Cependant, le catalogue de la terreur universelle dressé par l'auteur n'est pas seulement hallucinant. 

Il permet de s'interroger sur l'exercice du pouvoir.

Jusqu'à quel point le mal a-t-il été dans l'histoire un outil de gouvernement ? 

Et cet outil a-t-il jamais été efficace ? 

Mais aussi : n'y a-t-il pas une part de légende dans la recension des faits du fait, parfois, de l'accusé lui-même ? 

Faut-il attribuer de telles dérives à la maladie : la tyrannie d'Ivan le Terrible serait ainsi un symptôme de la syphilis ?

Un livre inventaire qui ne néglige pas l'anecdote sanglante, mais la dépasse pour permettre au lecteur d'aborder le territoire de la réflexion.