Thriller Thriller Thriller Thriller Thriller Thriller Cul sec ! Madame la flic Piste rouge... sang Série noire pour femmes en blanc Six mois à tuer Une cause perdue
Sur fond d’enquête policière, menée par le fantasque détective privé Enzo Bartoli, laissez-vous entraîner dans les coulisses de l’enseignement bistrotier.
Véritable hommage, parfaitement assumé, à l’inoubliable commissaire San Antonio, « Cul Sec ! » est un hymne à l’hédonisme.
Qui ravira ceux, bien nombreux, qui ont besoin d’une bouffée de liberté dans un monde envahi d’interdits.
Précisément documenté, il vous étonnera aux détours de références historiques authentiques et bourrées d’humour.
Dans le civil, c’est « Magalie Bouvet ».
Quadra, divorcée, un lardon.
Au boulot, c’est « Madame la flic ».
Commandant au sein de la police judiciaire parisienne, au 36, et chef d’un groupe antiterroriste.
Enfin, plus tout à fait.
Ça, c’était avant.
Avant que je m’en fasse virer pour une connerie, une mauvaise rencontre.
Je ne regrette pas, pas vraiment, car ma reconversion forcée a ses avantages, dont celui de me faire voir du pays.
Et puis l’action est toujours là.
Je suis juste débarrassée des lourdeurs administratives de mes anciennes fonctions.
Le surnom est resté.
J’aime autant.
Il a le mérite d’annoncer la couleur.
Journaliste au chômage, accro au jeu et à l’alcool, Louis Vergier se voit contraint d’accepter un travail dont il se serait bien passé.
Préparer un reportage autour d’un triple homicide survenu vingt-trois ans plus tôt à Chamonix, alors qu’il y vivait à cette époque une adolescence difficile.
Comme il le craignait, ce qui ne devait être qu’un boulot va se transformer en pèlerinage funeste.Et son retour au pied du Mont-Blanc s’avérera déclencheur d’une série d’événements que personne n’aurait pu prévoir.
Entre retrouvailles, rancœurs et mauvais souvenirs, Louis parviendra-t-il à mener son enquête sans éveiller d’anciens démons ?
Série noire pour femmes en blanc TOP
Médecin urgentiste, infirmière, kiné...
De nombreux points communs unissent ces nobles professions.
De longues journées consacrées à soulager les souffrances, d’interminables nuits de garde, le port d’une blouse blanche, alliés parfois à une interprétation très personnelle du serment d’Hippocrate et une inquiétante tendance à disparaître précocement.
À l’avenir, avant de confier votre petite santé aux bons soins du personnel hospitalier, prenez le temps de la réflexion.
L'auteur, un habitué des polars, a, cette fois-ci, trempé sa plume dans un quelconque « pot belge » car il nous tient en haleine jusqu’à la dernière page.
Lorsque le Professeur Lazreg, éminent cancérologue, annonce à Régis Gaudin que la tumeur qui le ronge ne lui laisse plus que six mois à vivre, ce dernier reçoit la nouvelle avec une indifférence qui frise la bravade.
Pourtant, le détachement dont il fait preuve est bien réel.
Enfant surdoué, thésard à 19 ans et brillant astrophysicien, Régis Gaudin est un véritable asocial qui vit reclus dans son bel appartement parisien, avec pour seule distraction les jeux télévisés.
Sa rencontre avec Chloé Schneider va chambouler son existence routinière.
Chloé est séduisante et pleine d’esprit, mais elle est surtout porteuse d’une proposition incongrue pour mettre à profit les six derniers mois de Régis…
Caustique, grinçant, avec une pointe d’humour noir, Six mois à tuer est le récit glaçant de la naissance d’un tueur en série, un tueur d’autant plus redoutable que sa meilleure arme est sa banalité.
Novice en la matière, François osa tout de même poser une question qui l'effrayait rétrospectivement.
- Et s'ils avaient été armés ?
Mika le réconforta de sa voix cassée.
- Nous l'étions aussi.
Un brin livide, Brigitte ne proféra pas une parole.
Ses pensées se bousculaient avec la même furie que les événements.
Elle sortait soulagée du poids des atrocités dont elle connaissait l'existence depuis trop longtemps.
Mais, bizarrement, elle appréhendait aussi le moment tout proche où elle ferait ses adieux à ses compagnons pour reprendre une vie « normale » avec François.
Sur fond d’enquête policière hors-normes et de romance sentimentale boiteuse, ce roman nous plonge petit à petit, jusqu’au dénouement final, dans le cloaque sordide d’idées malsaines et, hélas, vraisemblablement incurables.